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Ils ont quitté Avanade… mais ce n’était qu’un au revoir !

  • Publié le mercredi 7 avril 2021
  • temps de lecture 4 minutes
Les Boomerang Stories d’Avanade

Des départs entre défis professionnels et aspirations personnelles

"Si un jour vous ouvrez une agence à Nantes, appelez-moi !". Lorsque Nicolas Jacquemin lâche cette phrase sur le ton de la boutade en novembre 2017, il est sur le départ. Sans croire un instant qu’elle est prémonitoire... Il travaille alors dans la TC (Talent Community) Infrastructures depuis 2014 et quitte Paris pour la façade ouest. "Avant tout un choix de vie", explique Nicolas Jacquemin.

Anne-Solène Vartanian pensait, elle aussi, à des adieux définitifs en 2019 après cinq ans chez Avanade. "Pour moi, je tournais une page", se souvient la jeune femme qui veut tenter l’aventure start-up. L’un de ses managers a beau lui dire qu’il est certain qu’elle reviendra, la jeune femme largue les amarres, non sans émotion. "Quitter Avanade, c’était un peu comme partir de chez mes parents" glisse-t-elle.

Auditer, décortiquer la comptabilité, analyser les données financières… Voilà ce qui attire Youba Belabbas après cinq ans chez Avanade. L’ingénieur ressent l’appel du large en septembre 2017 : il souhaite ajouter ces cordes supplémentaires à son arc. "Sur le moment, je ne suis pas parti en me disant que je pourrais revenir", confie-t-il.

Un onboarding comme les petits nouveaux… ou presque

L’expérience en start-up est décevante pour Anne-Solène Vartanian. Youba Belabbas se verrait bien repartir "en production" après trois années d’audit. Et heureuse coïncidence pour Nicolas Jacquemin, Avanade a eu la bonne idée, début 2019, d’ouvrir une agence à… Nantes.

Quelques calls et envois de CV actualisés plus tard, tous les trois réintègrent Avanade au terme d’un recrutement moins formel. Un avantage pour les "revenants" qui n’échappent pourtant pas à un deuxième… premier jour. Le onboarding est une institution chez Avanade. On y reçoit son matériel, on se familiarise avec les usages et valeurs internes, on règle aussi l’administratif.

Nicolas Jacquemin, le Nantais, réalise son second onboarding en juin 2019 à Paris et croise nombre d’anciens collègues. "Je n’avais évidemment aucune appréhension !" se souvient-il. Idem pour Anne-Solène Vartanian en janvier 2020. "Les autres étaient tout timides, mais moi j’étais déjà dans mon élément !".
L’ambiance est un brin différente pour Youba Belabbas, en juin 2020. Crise sanitaire oblige, l’intégration se déroule chez lui en virtuel… "J’ai quand même revu des têtes connues en visio !"

Savoir-faire et savoir-être : les bonus d’un come-back

Anne-Solène Vartanian a réintégré son poste initial : Scrum Master et coach agile. Et pourtant, tout est différent. "J’ai évolué sur la posture, j’ai gagné en confiance, estime-t-elle. En start-up, j’étais seule aux manettes sur mes missions. Donc aujourd’hui, j’ose plus de choses, je prends des initiatives, j’incarne davantage la fonction".

Senior consultant en data engineering, Youba Belabbas est revenu à ses premières amours pour l’innovation technologique. Avec pour lui aussi, le sentiment d’avoir gagné sur plusieurs plans. "Avoir été auditeur apporte beaucoup pour la fonction de consultant, note-t-il. A cela s’ajoutent des compétences métier financières et comptables, sur la réglementation et la sécurité. J’ai un spectre d’expertises plus large".

Son antériorité chez Avanade est un réel atout pour Nicolas Jacquemin. Senior consultant dans la TC Infrastructures de l’agence de Nantes, son expérience de l’entreprise est la bienvenue. "Je n’amène pas de plus-value technique par rapport à avant, mais je suis l’un des plus seniors à Nantes. J’apporte mes connaissances des usages d’Avanade aux postes juniors. On m’a même associé à des recrutements" précise-t-il.

Quand les valeurs d’Avanade font la différence

"Lorsque je me suis projeté dans un retour, j’ai eu des propositions mieux disantes d’autres entreprises mais je ne les ai pas saisies, confie Youba Bellabas. J’ai préféré privilégier un mindset qui me tient à cœur, notamment sur la lutte contre les discriminations et le respect des collaborateurs".

"Je ne suis pas uniquement revenu pour la nature de la mission, complète Nicolas Jacquemin. La place donnée aux collaborateurs et les valeurs humaines ont beaucoup compté dans mon choix".

Une culture d’entreprise plébiscitée, mêlée à une certaine ouverture d’esprit.

"Un retour n’est pas mal vu car Avanade estime que toute personne apporte quelque chose en revenant, explique Anne-Solène Vartanian. C’est une vraie force d’autoriser des parcours différents. Pour cette raison, j’y suis encore plus attachée".

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